Policiers, gendarmes et pompiers ont eu la visite du secrétaire général de la préfecture en début de soirée. « Deux cents agents sont mobilisés en cette nuit de la Saint-Sylvestre sur les routes de Saône-et-Loire, a t-il précisé. Ils vont faire des actions de contrôle une grosse partie de la nuit. »
Même si une attitude plus responsable des conducteurs est remarquée d’année en année, la nuit de la Saint-Sylvestre est toujours appréhendée par les forces de l’ordre.
Puis, le secrétaire général de la préfecture de Saône-et-Loire, sous-préfet de Mâcon, David-Anthony Delavoët, a fait étape à l’association Le Pont, qui a géré, en 2019, 7200 appels d’urgence et a accueilli un peu plus de 2000 personnes en difficulté sociale.
La tournée s’est poursuivie à l’asile de nuit où 19 personnes dînaient ensemble.
Elle s’est terminée par les urgences de l’hôpital, en grève depuis le mois de juin. Le mouvement social n’a cependant pas été évoqué au cours de cette visite. Le début de soirée était calme à l’hôpital.
Le sous-préfet était accompagné de la directrice adjointe de la direction départementale de la Cohésion sociale, de Jean-Patrick Courtois, maire de Mâcon, président de la MBA, de Christine Robin, conseillère régionale représentant la Région, de Claude Cannet, représentant le Département, et de Jacques Tourny, adjoint au maire de Mâcon et conseiller départemental.
SOURCE : article du JSL le 31/12/2019 – par Laurie BOUCLET
En cette soirée de la Saint-Sylvestre, une délégation composée du secrétaire général de la préfecture et d’élus.es a rendu visite aux différents services de garde.
David-Anthony Delavoët, secrétaire général du préfet de Saône-et-Loire, accompagné de Jean-Patrick Courtois, maire de Mâcon, de Christine Robin, conseillère régionale, de Claude Cannet, vice-présidente du Conseil départemental, de Jacques Tourny, adjoint au maire de Mâcon, et de Catherine Pellet, directrice adjointe à la direction départementale de la Cohésion sociale de Saône-et-Loire, a débuté cette tournée traditionnelle à 18 heures par l’Hôtel de police de Mâcon.
La délégation a été reçue par le Commandant Marc Delaplace. Sur place, effectif réduit avec trois agents présents, la majorité des policiers se trouvant à l’extérieur, en opérations.
Au total, 12 à 14 policiers sont mobilisés en cette soirée du Nouvel An à Mâcon, essentiellement en opérations de contrôle en deuxième partie de soirée. « Historiquement, nous sommes dans une circonscription où cela se passe bien », a souligné Marc Delaplace. Au niveau du département, 200 gendarmes et policiers étaient d’astreinte. « On compte sur la responsabilité des automobilistes », a ajouté Marc Delaplace, « pour une attitude plus citoyenne. »
Au 80 rue de Lyon, au centre d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) de l’association Le Pont, qui est également le siège du 115, les membres de l’équipe ont préparé un buffet dinatoire pour les personnes résidentes et le personnel d’astreinte.
Jean-Amédée Lathoud, président de l’association, rappelle que le 115 reçoit annuellement « 7 200 appels, dont 5 000 trouvent une orientation. Nous avons la capacité de répondre aux demandes afin d’éviter les situations d’errance, de maltraitance ou de délinquance ».
Au CHRS, c’est « une trentaine de personnes qui est actuellement hébergée et quelque 1 000 soupes qui sont servies dans l’année », indiquait Jean-Amédée Lathoud. Pour l’année 2020, ce dernier a souhaité « plus de prospérité et moins de pauvreté, plus de fraternité dans la vie de tous les jours ».
Direction l’Accueil des Charmilles, l’asile de nuit de Mâcon, où la délégation est attendue par Marie-Roberte Chatelet, sa directrice. Les pensionnaires sont atablés pour le repas de Réveillon. Ce soir, une vingtaine de personnes est hébergée pour la soirée, la nuit et parfois pour quelques jours… Outre cet établissement, Marie-Roberte Chatelet s’occupe également d’une pension de famille hébergeant des personnes en réinsertion sociale.
C’est sur les bons voeux de bonne année que la délégation a quitté les Charmilles pour poursuivre sa tournée par une rencontre avec les pompiers de permanence au Codis. A suivre.